Les seuls au monde
Les seuls au monde ont brisé leurs chaînes
Se sont envolés et reviennent
Ils apprennent et retiennent
que la liberté…a de la peine
sans gêne ils reprennent
la fuite, le délire, la peine et l’appellent
idée…mais vidée de sens…ils attendent
guidés dans la nuit ils se laissent perdre
et moi...même si je me perds
je fini toujours par te retrouver
trouver la beauté…la magie du moment
qui t’emporte et te ramène
pour te dire que les chaînes
sont brisées mais qu’elles pèsent
si lourd qu’elles te retiennent
collé au sol, elles et toi
de ta force tu rames tu tires de l’avant
et tu reviens
passionné, fasciné tu passes tes journées à penser
à foncer à t’entraîner
par ta force tu leur donnes
envie de te suivre
tu ordonnes et tu abandonnes
ta force te quitte pour que tu t’en dorme
avec tes chaînes tu les gênes
tu te questionnes et ils te voient
te regardent mais ne comprennent pas
peut être tu ne comptes pas
on t’assommes de paroles et de discourettes
tu les avales
tu te lances et te balances en l’air
puis tu retiens ton souffle
la nuit tombe
la pluie tombe
le rideau tombe
et là à la tombe
tout se termine
tu te lèves, tu divagues, tu erres
tu galère peut être
mais d’autres derrière
attendent qu’on les libère
mais une seule pierre
ne peut briser toutes les chaînes.